Se crasher et redécoller

Samedi dernier, j'ai troqué ma casquette de marketeux contre une casquette de pilote d'avion : j'ai en effet pris les commandes d'un appareil que j'ai fait décoller sans aide. Natürlich, l'avion n'était pas réel : personne ne laisserait la sécurité d'un avion à un mec d'aussi mal dégourdi. Récemment, j'ai formaté mon disque dur par erreur. Il s'agissait en fait un simulateur de vol, mais vraiment stupéfiant pour que je m'y croie vraiment. Ca a eu lieu à l'aéroport, et j'ai été enchanté de cette initiation. Je ne vais pas vous faire un récit circonstancié sur cette expérience : j'estime qu'il y a à mes yeux de nombreux 'articles sur le sujet sur la Toile. Pas mal de blogueurs se font offrir cette expérience et sortent un article fini au pipi. Je vous invite donc à chercher par vous-même. En ce qui me concerne, j'ai été vraiment excité. Je dois avouer que je ne m'y attendais pas à un tel réalisme. L'intellect est tellement bluffé qu'il réagit comme si je risquais la catastrophe si je commettais la moindre erreur. Quand j'ai vu la piste approcher, je ressemblais à le mec du film Y a-t-il un pilote dans l'avion : je suais à grosses gouttes. En fait, j'avais des doutes quand on m'a offert cette séance, mais c'était royal. Mille mercis à mon épouse pour ce présent à la fois spécial mais prodigieux.Ce qui m'a un peu ennuyé, c'est que c'était trop court : j'aurais bien continué. Mais c'est plutôt positif, d'une certaine manière : ça veut dire qu'on ne se lasse pas. Je vous mets en lien le site où ma chère et tendre a déniché ce stage à Marseille, si le coeur vous en dit. C'est absolument magique.Davantage d'information sur ce simulateur de vol à Marseille en suivant le lien.