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La limace bleue
2 septembre 2020

Si ton parachute ne s'ouvre pas...

Se retirer d'une compagnie aérienne anéantirait la journée de la plupart des gens. Mais si vous êtes 007, ce n'est pas un problème. Après avoir été poussé hors d'un avion dans la vidéo de 1979 Moonraker, Connection initie un milieu de l'oxygène vaincu avec un méchant de parachutisme à proximité et nécessite le parachute du méchant. Alors que son ennemi plonge au sol, Connection combat un autre méchant, déploie sa chute et flotte magnifiquement pour le monde. Part de gâteau. Je me souviens avoir vu ce scénario étant un jeune enfant et avoir été assez impressionné. Cependant, je ne pouvais pas supporter mais je me demandais: que s'est-il passé pour l'autre monsieur? Vous savez, le méchant qui a perdu son parachute. Il est entièrement mort, non? En fait, peut-être pas. Un certain nombre de personnes privilégiées ont traversé des chutes similaires dans le monde réel. L'éditeur Jim Hamilton a rassemblé des dizaines de ces témoignages. À titre d'illustration, Alan Magee a traversé une chute de 20 000 pieds depuis son avion pendant la Seconde Guerre mondiale et a survécu en montant sur le toit en coupe de la gare française. Et l'agent de transport aérien serbe Vesna Vulovic soutient le document mondial Guinness pour ce plus long glissement - plus de 30000 orteils - après que son avion a explosé dans les années 1970, même si certains cyniques pensent que la taille réelle de la glissade de Vulovic était en réalité un simple 2600 pieds. Mais avec quelle précision pouvez-vous supporter ce genre d'occasion extraordinaire? Rhett Allain, professeur affilié de sciences à la Southeastern Louisiana Condition School, déclare que les faits expérimentaux à leur sujet sont minces, car il est frauduleux de laisser des gens hors des avions pour la recherche. "Heureusement, nous n'avons pas suffisamment d'informations pour créer une ligne de tendance", affirme Allain. Continuez à, Allain ainsi que d'autres utilisent quelques suggestions concernant les aspects qui pourraient être établis, que vous fassiez ou non une chute à partir d'un grand nombre de pieds dans le flux d'air. Selon Allain, il y a quelques choses que vous devez faire. Soyez petit C'est une circonstance où les dimensions font vraiment une différence. «Les hommes et les femmes de petite taille glisseront plus lentement, donc cela leur permettra d'avoir une meilleure chance [de réussir]», précise Allain. Vous avez probablement vu cette sensation si vous avez effectivement brossé un insecte ravageur du bureau de votre cuisine. Une chute de 3 pieds est plutôt intimidante pour quelque chose d'aussi petit qu'une fourmi. Mais la fourmi survit. Comment le pratique-t-il? La solution parfaite implique à la fois les forces primaires agissant sur une personne qui glisse - la gravité et la résistance à l'oxygène. Bien que les forces gravitationnelles s'appuient sur la masse d'un parachutiste, la quantité d'oxygène de la résistance pousse à nouveau. Lorsque ces deux forces égalent l'autre, vous avez reçu la vitesse terminale - le rythme régulier à partir duquel un parachutiste tombe. "Dans un placement régulier pour un parachutiste, c'est tout autour de 120 miles par heure", déclare Allain. Mais comme de plus grandes personnes ont beaucoup plus de taille, la prise de gravité est plus robuste. En conséquence, les hommes et les femmes plus grands obtiennent une plus grande vitesse terminale, déclare Allain, frappant ainsi le sol à une vitesse plus rapide. Les individus plus grands ont également tendance à avoir une plus grande surface, ce qui augmente le niveau de résistance de l'atmosphère, mais Allain déclare que ce n'est pas suffisant pour compenser cette poussée vers le bas plus puissante en raison des forces gravitationnelles. Le biologiste bien connu J.B.S. Haldane, qui compose en 1928, résume parfaitement la théorie. "Il est possible de faire descendre une souris vers le bas d'un puits de mine de mille jardins et, en se montrant au fond, elle reçoit une petite secousse et s'éloigne", écrit Haldane. "Un rat est détruit, un gars est endommagé, un cheval éclabousse." Frappez tout ce qui est doux Les choses sur lesquelles vous atterrissez font une grande différence, déclare Allain. La survie, affirme-t-il, est intensément affectée par les forces g - la pression d'accélération que vous ressentez chaque fois que vous transformez soudainement le taux. Les surfaces molles sont plus simples sur le corps car elles augmentent votre longueur d'arrêt, ce qui diminue les causes g que vous ressentez. Donc, Allain dit que tout ce qui augmente la distance de cessation prolongée d'une personne qui glisse sera précieux. «Une bonne chose à la propriété peut être un arbuste, juste parce qu'un arbuste, vous pouvez frapper les divisions pendant que vous descendez», affirme Allains. "Si c'est une bonne plante, cela peut vraiment améliorer votre temps d'arrêt et diminuer votre vitesse." Boire de l'eau peut aussi être un excellent objectif, dit-il, à condition de ne pas faire de ventre. «L'eau potable pourrait fonctionner», affirme Allain, «mais vous souhaitez être comme un stylo et aller aussi profondément que vous le pouvez, ce qui augmente votre temps d'arrêt et diminue votre vitesse. Mais Hamilton dit que l'obtention de l'eau a ses inconvénients. «Vous supposeriez probablement que l'eau pourrait être utile, mais l'eau potable va assommer les gens», affirme Hamilton. "Alors, même s'ils endurent, ils pourraient se noyer." Hamilton déclare que d'autres types de surface - la neige, les collections potentielles et les toits - ont piégé des survivants dans le passé et pourraient bien être un choix plus judicieux que l'eau. En 2004, par exemple, un journal de Johannesburg a documenté un parachutiste d'Afrique australe dont le parachute ne s'est pas ouvert. La bonne nouvelle est qu'elle est tombée dans les lignes électriques et n'a subi qu'une fracture du bassin, saut en parachute Peronne tout en échappant à l'électrocution. «N'atterrissez pas sur le pouce» Les experts de l'industrie ne sont pas d'accord sur le bon chemin vers la propriété, cependant, il y a sans aucun doute un chemin incorrect. Allain, tout d'abord, pense que l'expérience d'atterrissage face visible vous offre la meilleure possibilité de réussir. Il fonde son idée sur les recherches de la NASA des années 60 sur l'impact des forces g sévères sur les pilotes vérificateurs. "La NASA a mentionné:" Hé, nous aimons booster, alors augmentons le nombre de personnes jusqu'à ce que finalement de mauvaises choses se produisent. "" Dit Allain. "C'est pourquoi ils l'ont fait." Les résultats de la NASA ont révélé que les gens sont les plus tolérants aux facteurs g qui passent par la face avant du système pour l'arrière, comme ceux qui poussent les automobilistes de compétition à l'arrière de leur chaise chaque fois qu'ils frappent le gaz. La NASA conditionne ce type de vitesse "globes oculaires", parce que les individus qui le sentent se sentent comme si leurs yeux recevaient forcés à l'arrière de leur tête. Les facteurs G qui viennent d'autres directions, tout comme ceux qui vous poussent à la base de votre siège («yeux plus bas»), sont beaucoup plus dangereux, affirme Allain. En conséquence, Allain est convaincu qu'atterrir sur le dos, faire face, offre la meilleure probabilité en cas d'urgence, car il imite la position «globes oculaires». Néanmoins, un rapport de l'institution d'enquête sur la sécurité routière a évalué 110 études scientifiques de situation sur des personnes souffrant de glissements de distance relativement simples et prolongés et a conclu que l'obtention des pieds d'abord peut être votre meilleure photo. La justification est que vous perdez vos jambes pour votre excellent torse. "Le corps a une plage de décélération beaucoup plus étendue dans le cas où il influence le pied initial", indique le document, "ainsi que les très longs fragments d'os absorbent une part substantielle de la vitalité d'influence juste avant la fracture." Bien qu'il y ait désaccord sur la méthode la plus simple de terrain, il y a une disposition sur un seul niveau. «Ne pensez pas à la propriété», conseille le docteur. Jeffrey Bender, professeur d'interventions chirurgicales à l'université ou au collège de l'Oklahoma Well being Sciences Middle. Bender a traité de nombreuses victimes de chutes de différentes hauteurs, en collaboration avec un parachutiste du Texas qui a eu un dysfonctionnement du parachute. Il souligne pourquoi les personnes qui glissent fréquemment sur de longues distances ne le font pas efficacement. "C'est parmi deux choses: soit une blessure grave à l'esprit, soit une énorme hémorragie", déclare Bender. En vous assurant que votre esprit n'est pas une chose à toucher au sol, il est possible au moins d'aider à éviter l'un de ces points.

parachute (6)

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